Sans plus de surprise, le vieux zaïc marche a son rythme, dans la plaine herbeuse. chaque pas est difficile pour le vieil aquaïde, mais il ne se plaind pas. A ses cotés la jeunes nagga se bat. Comme depuis trois jour et rois nuit ils avance tout les deux. elle absorbée dans son combat, et lui a son rythme, le sourir serein aux lèvres.
"arrettons nous, notre folie. je vais monter notre campement. demain nous entrerons en ville."
Le viel homme posa son baton contre l'arbre fleuri. Ses mouvements était lent comme par économie. pendant que la jeune nagga se débattait toujours, il s'acroupi et retira ses chausses. Il humidifia la petite eponge qui se trouvait dans chacune d'elle avant de les réenfiller.
Il reposa ses yeux, là, adossé au viel arbre.
Ses force commença a l'abandonner. les songes se rapprochèrent du vieux scribe.
Maurolï fendi encore longtemp l'air, se battant seule contre une armée qu'elle avait déja pourtant décimée, il y a plusieurs lune.